22 janv. 2013

Mon cerveau n'a pas de temps disponible







La télé et le journalisme français, pléonasme culturel, qui se nourrissent d'eux même dans un cycle sans fin.
Où il n'est même plus nécessaire de donner l'apparence d'une nourriture intellectuelle fraiche et saine, les merdes de chacun re-consommées et re-digérées et tassées dans la tête et dans le gosier des spectateurs/consommateurs, (aka le citoyen moyen) par l'intellectuel/animateur parisien (aka le journaliste français) de la tranche horaire de disponibilité cérébrale suivante, celui-ci tout sourire et le torse bombé de fierté d'appartenir à la mission sacerdotale qu'est l'éducation morale et politique du peuple français.



12 janv. 2013

TLTDY



Je ne dis rien mais je n'en pense pas moins ...

7 janv. 2013

L'inspiration artistique (créatrice ?) dans la douleur


Cette vidéo semble être le fruit d'un exercice précis donné aux élèves de l'ESMA (et j'espère que ces étudiants ont obtenu une bonne note selon les critères de leurs prof). Je me permets, Madame Stephanie Grard et Messieurs Boris Laprade, Fabien Masson et Théo Girettes, de diffuser votre travail.

Pour ma part, j'ai été vraiment touchée par la trame choisie pour pousser le personnage à effectuer quelques pas de danse, et un gros louchébem sur du Verdi, avec ou sans mouche ça paie ... :o)
J'ai tendance à penser que la douleur et la peine (voire "la chute au fond du gouffre") sont des sources d'inspiration artistique (ou d'inspiration tout simplement, c'est une autre réflexion, ou pas, je sais pas). Et c'est cette idée qui m'a frappée quand j'ai regardé ce court-métrage.




Je suis fan de l'expression du boucher à la fin, un genre de sentiment de plénitude, ou d'accomplissement.